Dans le dernier article, on vous parlait de ces photos de plage au look rétro, prises sans appli, sans filtre, sans retouche. Beaucoup ont demandé : “Mais comment t’as fait ?” Alors voilà. On lève le voile.

Du matos simple, mais pas banal
Pas de boîtier dernier cri. Pas de capteur ultra-performant. Juste un appareil photo argentique basique. Et une pellicule couleur… un peu passée. Littéralement. Une pellicule périmée, sortie d’un vieux stock Kodak.

Pourquoi ça marche ?
Quand une pellicule couleur vieillit, ses composants chimiques se dégradent. Résultat : les couleurs dérivent, le contraste baisse, le grain ressort. Ce n’est pas un bug, c’est une esthétique. Et c’est exactement ce qu’on cherche.
Le rendu, brut et sincère
Pas besoin de retoucher. Ce que tu vois, c’est ce que tu obtiens. Les tons sont imprévisibles, parfois un peu fous, mais toujours intéressants. Et cette fameuse bordure noire ? C’est juste le bord du film, tel qu’il sort du scan. Authentique, sans maquillage.

Un choix assumé
Utiliser une pellicule périmée, c’est prendre un risque. Mais c’est aussi faire confiance au hasard. Et dans ce cas, le hasard a bien fait les choses. Ces photos ont ce petit truc en plus : elles ne cherchent pas à être parfaites, elles sont vivantes.
Parfois, il suffit de ne pas trop contrôler. De laisser le temps faire son effet. Et de redécouvrir le charme de l’imprévu

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