Zorki 4 et Fomapan 400 dans la rue

Zorki 4 - Fomapan 400

Une pellicule par mois

D’une pellicule par mois à la recherche d’un nouveau souffle : réflexions sur la spirale de l’inertie créative et la nécessité d’une rupture artistique.


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Commentaires

5 réponses à « Zorki 4 et Fomapan 400 dans la rue »

  1. Très bien ! Zorki 4 + Jupiter 8 fut (mais déjà écrit, je crois) mon premier équipement 24 x 36 (décembre 1968, Angleterre).

  2. Avatar de Jérôme
    Jérôme

    J’adore la 6e , une photo au temps suspendu. Pas besoin de présence humaine pour être excellente.

  3. Avatar de BARRE O

    bonjour fred, j’ai utilisé la FOMA 400 ( alors que d’habitude, je suis en FOMA 100 ). J’ai lu sur le net que la FOMA 400 était issue de la FOMA 100 et qu’il y avait très peu de différence entre ces deux pellicules. Ainsi, j’ai accidentellement exposé une FOMA 400 en 100 ASA ! Comme je n’avais pas la moindre idée de ce que je devais faire pour le développement, je l’ai développée comme si elle avait été correctement exposée ( 400 ASA ) avec un révélateur TETENAL. J’ai été très surpris du résultat, la pellicule était tout à fait correcte et sa densité était similaire à un développement normal. J’ai l’impression qu’elle est très tolérante à la surexposition. Si tu utilises régulièrement la FOMA 400 , gardes-tu sa sensibilité d’origine quand tu fais des photos ?

    1. Bonjour Olivier.
      Selon le fabricant, la Fomapan peut être surexposé de 1 IL et sous exposé de 2 IL sans aucun changement dans le traitement. Je retiens rarement les films noir et blanc. Par contre, je les pousse assez régulièrement. J’ai testé la Fomapan 100 ISO à 800 ISO. Pas de souci non plus. On peut lui reprocher bien de choses mais il faut avouer que ce film encaisse pas mal. Bonnes photos.